Ne trouvez vous pas,que rien n'est davantage agréable que d'etre chez soit tranquillement en pensant à ses chers camarades en train de travailler...J'avoue,j'ai un coté sadique..
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Je suis la devant mon pc,rien ne presse,j'ai la journée pour moi,a moin que les remords me prennent,d'avoir abandonner les êtres aimés dans la jungle du lycée
.Peut etre vais je débarquer cette aprem après tout
Il n'y a rien de plus terrifiant que de se sentir responsable du bien être de quelqun,pour ma part du moin je trouve ce poid trop lourd. Dernierement je me suis posé la question, pourquoi je ne pouvais pas m'empecher de porter le fardeau des autres en plus du mien,la seule hypothèse probable est que inconsiemment j'aimerais faire de même,me soulager quelques peu. Au final ce qui aurait pu se trouver comme une réaction d'une totale dévotion, est peut etre seulement un acte égoiste?
Ce qui mammène a réfléchir sur la difficulté de se confier aux autres,quand on est ronger et tirailler par des sentiements insupportables,quand la vie vous apparait seulement comme un vaste chaos,ou trouver refuge?si ce n'est dans les bras d'un ami,je ne vois pas.Malheuresement pour beaucoup,je parle de moi comme de nombreuses autres connaissances,se libérer de la sorte n'est jamais chose vaine,malgrè toute la confiance sacrée que l'on peux porter a ses amis.
Peut etre faut t'il etre au bord du gouffre,pret a définitivement craquer pour enfin dénier partager ce mal être intolérable.Mais alors faut t'il ne pas avoir commis la terible erreur de se renfermer et de s'exclure,pour qu'une main puisse encore se tendre et peu a peu aider à retrouver la lumiere,remonter a la surface.Démarche longue et erraintante vers l'apaisement que je ne dirais pas sans appel,car la vie est une succesion de cycles,des sommets d'éxultations comme de desespoirs.
Marie
Sur ce,je concluerais en m'autopersuadant qu'il faut s'accrocher pour réussir et émerger car la vie vaut d'être vécue